Hominum Revelio
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 Sixtine ; « Satan aussi était un ange au commencement. »

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Sixtine Jedusor

Sixtine Jedusor


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Pensine
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MessageSujet: Sixtine ; « Satan aussi était un ange au commencement. »   Sixtine ; « Satan aussi était un ange au commencement. » EmptyMer 15 Juil - 16:23


Sixtine
Merope
Jedusor




« L'ange est parfois habité par le démon. »


Sixtine ; « Satan aussi était un ange au commencement. » I212
    seize ans
    sixième année
    née le 12 octobre
    à Londres
    anglaise
    de sang mêlé purifié
    hétérosexuelle
    plus attirée par les garçons


Hominum
Revelio



*« la vie, c'est dur. Toujours. »

    première partie ; 1515 mots.
    deuxième partie ; 1008 mots.
    troisième partie ; 1431 mots.
    quatrième partie ; 908 mots.
    cinquième partie ; 1006 mots.
    total ; 5868 mots.



Bloup
Sixtine ; « Satan aussi était un ange au commencement. » 541537


« Planté derrière son clavier, on peut rêver. »

    âge ; 16 ans
    temps de connexion ; 7/7 normalement, mais, je ne suis pas une machine à RP, je n'en fait pas tout les jours.
    comment as-tu connu le forum et comme le trouves-tu ? J'ai connu le forum grâce à un partenaire et je l'adore déjà ! (:
    votre personnage est-il un personnage vacant ? Oui.
    personnalité sur l'avatar ; Willa Holland ♥


Dernière édition par Sixtine Jedusor le Lun 20 Juil - 2:43, édité 15 fois
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Sixtine Jedusor

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MessageSujet: Re: Sixtine ; « Satan aussi était un ange au commencement. »   Sixtine ; « Satan aussi était un ange au commencement. » EmptyMer 15 Juil - 16:23


Première
Partie






    « Papa, papa ! Tu viens jouer avec moi ? ! »

    La petite Sixtine regarda son père avec espoir, pensant que cette fois, il ne refuserait pas de lui faire plaisir. Elle était sa fille et dans l’innocence de la jeunesse était convaincue qu’il l’aimait, qu’elle était tout pour lui. Mais, son cher père refusa une nouvelle fois, sans prononcer un seul mor, d’un seul geste de la main, comme si elle avait été un de ses quelconques subalternes. Une femme vint alors au secours de la petite fille de trois ans, lui proposant de jouer avec elle. Et comme Sixtine n’était qu’une gamine, le refus de son père fut une nouvelle fois vite oublié et elle s’amusa avec cette femme qui prenait toujours soin d’elle. Elle n’était pas la seule d’ailleurs. Les gens qui allaient et venaient dans la maison faisaient toujours très attention à elle, la plupart en tout cas, probablement dans l’espoir que le Lord les remarque par la bonté qu’ils transmettaient à sa fille. Au final, Sixtine était devenue une gamine très capricieuse qui détestait que les autres l’ignorent, son père mis à part. Elle lui trouvait toujours des excuses, même du haut de ses trois ans. Elle le pensait trop important pour consacrer du temps à sa famille, trop fatigué pour la supporter, trop intelligent pour faire des idioties avec sa fille et tout un tas d’autres choses qui ne reflétaient en rien la réalité.

    Pour comprendre le Mage Noir, il faut évidemment revenir trois ans en arrière. Après avoir mis enceinte une femme de Sang Pur, le Lord s’imaginait déjà contrôler le monde et éduquant son fils pour qu’il prenne le relais quand lui même n’en serait plus capable ou s’en serait lassé, si cela arrivait un jour. Cet enfant, c’était un espoir. Pourtant, le Lord ne prêta jamais attention à la mère de Sixtine. Quand il lui parlait, c’était simplement pour lui demander comment allait l’enfant. Il ne lui demandait jamais si elle pensait que c’était un garçon ou une fille car il était inenvisageable pour le plus grand mage noir d’avoir une fille pour héritier. Les neuf mois passèrent très lentement aux yeux du Lord mais, arrivèrent finalement. Seulement, après l’accouchement, il eut un très grand déplaisir. L’enfant était une fille. Le sexe faible. Inutile. Il entra dans une rage folle. La mère de Sixtine fut déclarée morte pendant l’accouchement mais, les doutes d’un meurtre étaient là. Que Lord Voldemort est tué la femme qui l’avait trahit en donnant naissance à une fille n’aurait pas été étonnant du tout.

    A partir de là, il était évident pour tout le monde que le Seigneur des Ténèbres n’aimait pas sa fille. Certains allèrent même jusqu’à se demander pourquoi il ne la tuait pas simplement tant son indifférence était visible. Pas une fois lorsqu’elle était bébé et pleurait il ne la prit dans ses bras. Et cela ne changea pas au fil des années. Elle était trop petite pour être un minimum utile et donc, c’était à peine si il la regardait.

    « Sixtine, je t’ai déjà dit de ne pas déranger ton père lorsqu’il est en réunion. »

    Jellia était la femme qui s’occupait de Sixtine. En effet, le Lord avait eut le bon sens de charger l’une de ses Mangemorts de s’occuper de la petite Sixtine, histoire qu’il ne lui arrive rien de fâcheux. Ainsi, la fillette fut élevée durant ses toutes jeunes années par Jellia. Elle lui apprenait tout. Et Sixtine l’adorait, la considérant presque comme une mère. Seulement, elle ne l’était pas. Et comme toute gamine capricieuse, Sixtine détestait qu’on lui dise ce qu’elle devait faire et donc, ne se gênait pas pour faire remarquer à Jellia qu’elle n’était pas sa mère. Cette fois ne fit pas exception.

    « T’es pas ma maman ! Alors arrêtes de faire comme si, hein ! »

    Prenant un air boudeur, l’enfant croisa les bras et baissa la tête. Sauf que dans sa bêtise de jeunesse, Sixtine oubliait qu’effectivement Jellia n’était pas sa mère et que donc, elle n’était pas patiente ni aimante avec elle. La colère survint très vite dans les yeux de la Mangemort.

    « Je ne suis pas ta mère et heureusement ! »

    Au fond, sûrement que Jellia aimait Sixtine, un peu en tout cas. Mais, elle ne la considérait nullement comme une fille. Pour elle, la gamine était une mission, tout simplement. Une mission qui durait depuis bien trop longtemps d’ailleurs. Elle en avait marre. Marre des caprices de la petite, marre de devoir être à côté d’elle constamment, marre de rater des missions intéressantes ou les réunions sous prétexte que Sixtine avait besoin de compagnie et marre de la gamine en général. Elle était tellement pressée que tout cela s’arrête. Sauf qu’elle savait qu’elle allait devoir s’occuper d’elle pendant longtemps encore, jusqu’à ce qu’elle soit assez vieille pour se tenir toute seule, vers ses huit ans environ. Jusque là, elle devrait s’occuper d’elle. Et ça, c’était devenu inenvisageable pour elle. Étonnement, c’était les deux personnes qui auraient dût aimer le plus Sixtine qui l’aimaient le moins. Mais, entre l’indifférence de son père et la colère de Jellia, la petite fille aurait été incapable de dire quel était le pire.

    La petite fille prit en tout cas très mal cette remarque. Normal après tout. Et les larmes commencèrent à couler sur ses joues. La faiblesse féminine comme pensait le Lord. Sa fille n’était qu’une pleurnicheuse, il était convaincu que si il avait eut un garçon, ce dernier n’aurait pas pleurer à la moindre chose qui n’allait pas. Il n’aurait pas pleurer tout court, il aurait été plus fort que ça. Mais, Sixtine n’était qu’une fille et une gamine par dessus ça, on ne pouvait pas lui demander d’être forte alors que c’était contraire à son sexe d’après le Seigneur des Ténèbres. Alors, il laissait faire, se promettant de corriger ce défaut quand sa fille serait plus grande. Pour l’heure, quand il la voyait pleurer, ce qui était rare tout de même, il se contentait de demander à Jellia de donner un mouchoir à sa fille et d’aller la coucher pour qu’il n’ait pas à supporter ses sanglots. Il n’était pas un père aimant et compatissant. En vérité, il n’était pas un père tout court. Mais, comment demander à quelqu’un incapable de sentiments de l’être ?

    « Papaaaaaaa ! »

    Comme chaque enfant capricieux faisait, Sixtine appelait son père à l’aide. Elle ne doutait pas un instant qu’il viendrait l’aider. Il l’aimait et était capable de tout. Pour Sixtine, il était presque un demi dieu tant elle l’aimait et l’admirait. Elle n’était pas la seule d’ailleurs, elle se rendait compte que plusieurs Mangemorts étaient comme elle. En tout cas, à peine eut-elle crier que Jellia se précipita vers elle, posant sa main sur la bouche de la gamine pour la faire taire. Que la petite dérange son patron alors qu’il était occupé à une réunion très importante et qu’elle était censé s’occuper de Sixtine n’était pas bon pour ses affaires. Malheureusement pour elle, le Lord entendit le cri de sa fille et ouvrit la porte de la salle de réunions, atterrissant dans le couloir où était présentes Jellia et Sixtine. Mais, au lieu de s’en prendre à la sorte de nourrice qu’était la Mangemort comme à chaque fois que sa fille hurlait pour qu’il vienne, il s’en prit directement à Sixtine. Qu’importe qu’elle ait trois ans. Qu’importe qu’elle l’aimait et l’admirait. Lui, il n’avait quasiment aucun sentiment affectueux pour elle et il voulait juste qu’elle arrête. Qu’elle arrête de l’harceler sans cesse.

    « Sixtine, n’interromps jamais plus une de mes réunions, c’est bien comprit ? »

    Le Seigneur des Ténèbres faisait de grands efforts pour ne pas s’énerver trop. Car quand il s’énervait, ce n’était plus avec des mots mais, avec des sorts dont le sortilège doloris notamment. Sauf qu’une gamine de l’âge de Sixtine n’aurait pas supporté la douleur. Le Lord le savait et bien que l’idée que sa fille disparaisse était tentante, il ne céda pas à la tentation. Même si l’enfant était inutile pour l’heure, elle devait avoir des talents cachés puisqu’elle était sa fille. Elle pouvait lui servir. Et puis, il était bien trop narcissique pour tuer quelqu’un qui avait son sang et sa chair. C’était sûrement le seul amour qu’il portait à Sixtine : son amour pour lui même. Il aimait la partie de sa fille qui venait de lui et lui ressemblait. Le reste, il s’en fichait. Détestait même la partie qui lui venait de sa mère. Regarder sa fille dans les yeux lui était insupportable car elle avait hérité des yeux noisettes de sa mère. Et le mage noir ne supportait pas de voir ça, de voir la trahison en face alors qu’il l’avait faite disparaître.

    Face à la réaction de son père, Sixtine arrêta toutes larmes. Pendant une seconde. Avant de pleurer de plus belle, ne supportant pas que son père ne la soutienne pas. Elle n’avait que trois ans. Et pour la première fois, elle se rendit compte que peut être, son père ne l’aimait pas.






Dernière édition par Sixtine M. Jedusor* le Dim 19 Juil - 0:17, édité 9 fois
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Sixtine Jedusor

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MessageSujet: Re: Sixtine ; « Satan aussi était un ange au commencement. »   Sixtine ; « Satan aussi était un ange au commencement. » EmptyMer 15 Juil - 16:23


Deuxième
Partie





    Sixtine grandit. Mais les choses ne changèrent pas tellement pour elle. A six ans, elle considérait que la vie, c’était elle et son père contre le reste du monde. Comme pour beaucoup d’adeptes Mangemorts, son père était une source d’admiration et d’amour chez elle. Sauf que les choses étaient différentes car c’était son père, pas son maître. Même si dans le fond, elle était censé lui obéir, tout comme eux. Néanmoins, ces sentiments n’étaient pas réciproques, loin de là. Il l’ignorait toujours. Et c’était ainsi pour tout ceux que la petite fille rencontrait. Les Mangemorts qui autrefois avaient eut une petite attention pour Sixtine dans l’espoir fou que leur maître les remarque s’étaient rendu compte que la petite ne représentait rien pour lui et avaient donc abandonnés. Les autres habitants du manoir ne se joignait pas à elle pour une raison qu’elle ignorait. Elle n’allait pas les voir non plus, bien que son regard curieux se posa souvent sur un garçon de son âge. Cependant dans sa vision des choses, il était comme un de ces Mangemorts de passage, il n’avait pas d’importance. C’est en tout cas ce qu’elle pensa. Avant un fameux jeudi soir après une réunion.

    Ce soir là, le Lord était sortit de la salle de réunion, l’air passablement heureux, une bonne nouvelle lui ayant été probablement apportée. Sixtine jusqu’alors en train de jouer dans le couloir en guettant la sortie de son père se hâta de ranger ses jouets – Jellia se serait fâchée sinon – et se précipita ensuite à la suite de son père qui était déjà hors de vue. Elle arriva bien vite dans le salon. Mais, au lieu d’entrer dans la pièce, elle se contenta de rester dans l’embrasure de la porte, regardant son père avec ce petit garçon blond qui faisait naître un sentiment de curiosité en elle. Au départ, elle n’entendit pas ce qu’ils disaient et jugea cette conversation normale. Mais, ils finirent par parler plus librement et donc, plus fort.

    « Scorpius, je n’accepterais pas que tu échoues. Tu deviendras l’un de mes Mangemorts les plus puissants si tu fais ce que je te dis. »

    Sixtine regarda son père qui semblait prise d’une sorte d’affection pour le petit Scorpius. Cette affection qu’elle recherchait depuis très longtemps sans la trouver.

    « Et tu as intérêt à faire attention à Sixtine. Elle ne doit jamais ternir mon nom, c’est bien comprit ? Du reste, fais-ce que tu veux d’elle tant que tout reste honneur. »

    Hochant la tête d’un signe affirmatif, Scorpius accepta cette demande de la part du Lord, sans savoir si il pourrait la tenir ou non et même si il s’en souviendrait dans quelques années. Sixtine se drapa dans son orgueil de gamine en trouvant cette demande ridicule. Elle n’avait pas besoin que le blondinet fasse attention à elle, elle se débrouillait bien toute seule. Enfin bien sûr, elle avait toujours Jellia sur le dos qui pouvait l’aider en cas de problème mais, l’enfant restait persuadée qu’elle arriverait à se débrouiller seule. Mais, ce sentiment de vexe était confronté à celui de joie. Quelque part, son père tenait à elle pour demander à quelqu’un de prendre soin d’elle non ? C’est en tout cas ce qu’elle crut jusqu’à ce que le mage noir reprenne la parole.

    « Elle n’a aucune importance, sache le bien mais, son nom est mon nom alors tu devras … »

    Un bras attrapa violemment celui de la petite fille, la forçant à se retourner contre son gré. Deux grands yeux verts la transpercèrent, nappés d’une colère qui fit frémir Sixtine de la tête aux pieds. Si plus petite elle avait toujours trouvé que les colères de Jellia n'étaient pas très mençantes, en grandissant, elle s’était rendu compte que la Mangemort qui s’occupait d’elle devenait de plus en plus méchante lors de ses crises de colère, parfois même violente, bien que cela n’excédait pas les claques. Alors maintenant, Sixtine avait peur, comme une enfant de six ans a peur devant la folle colère de l’un de ses parents alors que c’était comme si elle n’en avait pas. Cependant, Jellia ne la frappa pas et ne la réprimanda pas, se contentant de la tirer dans le couloir jusqu’à l’escalier. D’un simple signe de la main, index tendu, elle lui intima l’ordre d’aller se coucher. Sixtine obéit.

    Dès qu’elle fut entré dans sa chambre et qu’elle eut refermé la porte, elle s’allongea sur son lit et pleura à chaudes larmes. Elle pleura tellement fort que les sanglots s’entrechoquèrent dans sa gorge. Elle pleurait tellement rarement depuis trois ans qu’elle avait du mal à les faire sortir. Pleurer n’était pas une chose que faisaient les gens dans son entourage et Sixtine se demandait souvent si c’était une chose à faire. La réponse qu’elle donnait à cette question était non alors, elle évitait de pleurer mais parfois, les larmes roulaient toutes seules sur ses joues, comme ce soir là. Ces larmes était une preuve. La preuve que les gosses étaient capables de comprendre certaines choses même si les adultes ne le croyaient pas. Sixtine n’avait que six ans. Pourtant, elle avait déjà comprit dans les regards échangés et les quelques phrases prononcées que Scorpius avait hérité de sa place. Celle de l’enfant qui fait la fierté d’un père. Le Lord n’était pas fier d’elle, il ne l’aimait pas même. Et cette vérité était dur à encaisser, encore plus qu’elle en ignorait la raison. Autant qu’elle s’en souvenait, Sixtine n’avait jamais fait quoique ce soit qui puisse faire honte à son père ou détruire ses sentiments d’affection. Elle était toujours gentille, agréable, souriante avec lui et avec les autres même quand elle n’entrait pas dans ses crises de caprices. En somme, elle était une gamine. Normale. Adorable. Un vrai Ange. Alors Sixtine ne comprenait pas. Pas encore. Mais, elle savait qu’un jour elle parviendrait à savoir pourquoi son père lui avait préféré Scorpius. En attendant, elle continuerait d’aimer et d’admirer son père comme elle avait toujours fait. Parce que sa vie ne se résumait qu’à cela pour l’heure.


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Sixtine Jedusor

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MessageSujet: Re: Sixtine ; « Satan aussi était un ange au commencement. »   Sixtine ; « Satan aussi était un ange au commencement. » EmptyMer 15 Juil - 16:23


Troisième
Partie



    Souvent Sixtine se demandait où était sa mère. Parfois, lorsqu’elle voyait une Mangemort qu’elle trouvait particulièrement belle et distinguée, elle s’imaginait qu’il s’agissait de sa mère qui venait la chercher, qui l’avait retrouvé après ces six année. Mais, jamais aucune femme ne prétendit être sa mère. Et si ce manque d’affection maternelle se faisait ressentir chez la gamine, elle n’en montrait jamais rien. Elle aurait voulut tout connaître de sa mère dès le début mais avant, elle était trop petite pour se rendre compte qu’il lui manquait quelque chose. Avant. Maintenant, elle voulait savoir. Et demander à son père semblait être la chose à faire.

    Aussi, un après midi avant que son père ne quitte le manoir pour une mission, elle se précipita vers lui. D’ordinaire, il ne prêtait pas attention à elle mais, il sentait que sa fille voulait réellement quelque chose cette fois. Sauf qu’il ne parvenait pas à comprendre l’esprit embrouillé de son enfant qui était rempli de milles questions. C’était un avantage d’être enfant. Même avec de la magie, il était difficile de comprendre ce qu’ils pensaient car ils pensaient beaucoup trop. Enfin, peut être que cela ne fonctionnait pas avec tout les enfants. Mais en tout cas, cela s’appliquait aux enfants très curieux et qui ne savaient pas grand chose. Comme Sixtine. La seule chose qu’elle connaissait, c’était la vie dans le manoir. Elle ne sortait quasiment jamais sinon et voyait rarement d’autres personnes. D’autres enfants venaient parfois, accompagnant leurs parents Mangemorts et même si elle parlait avec eux, elle ne se sentait pas tellement proche d’eux. Être avec les autres était une chose difficile pour elle. Peut être à cause de sa timidité. De son côté princesse. Ou bien de son manque d’amour de la part des autres. En tout cas, elle avait beau être gentille et souriante avec les autres gamins, ils n’étaient rien de plus à cette époque là que des camarades de jeux occasionnels.

    « Qui y’a t-il Sixtine ? »

    La voix froide et plus autoritaire qu’à l’accoutumé fit hésiter la petite fille un instant encore. Elle ne voulait surtout pas mettre son père en colère. Parce qu’elle avait vu ce dont il était capable lorsque la rage prenait le dessus et elle n’avait pas tellement envie qu’il pointe sa baguette sur elle pour qu’elle se torde de douleur au sol comme les autres. Elle ignorait à quel point ça faisait mal mais, en entendant les hurlements et en voyant les visages défigurés par la douleur, elle préférait ne jamais savoir. Ce qui la fit hésiter. Mais, la curiosité était trop forte. Alors, les mots sortirent tout seuls de sa bouche.

    « Elle est où ma maman ? »

    L’éclair qui traversa les yeux du Lord n’était pas rassurant du tout. Il leva la main vers elle mais, contre tout attente, il ne la frappa pas, se contentant de dessiner le contour du visage de Sixtine. La gamine tressaillit en même temps qu’elle sourit. Elle tressaillait parce que son père avait une apparence réellement étrange qui lui faisait un peu peur. Elle sourit parce que c’était la première fois dans ses souvenirs qu’il la touchait. Avant, aucun contact physique, comme si cela aurait pu les brûler l’un l’autre. Une sorte de barrière qui venait de s’effondrer. C’est en tout cas ce que crut Sixtine jusqu’à ce que la mage noir reprenne la parole.

    « Elle est là ta mère. Dans ton visage, tes yeux, ton sang, ta chair. N’espère pas en savoir plus car elle ne vaut pas la peine qu’on se souvienne d’elle. »

    Il rompit la contact entre lui et Sixtine, lui jetant un regard mauvais. La petite eut du mal à comprendre pourquoi c’était ainsi mais, elle sut à ce moment là que son père haïssait sa mère, ou le souvenir qu’il en restait car il en parlait comme d’une morte. Elle eut aussi un élément de réponse à sa grande question : pourquoi lui préférait-il Scorpius ? Parce qu’elle ressemblait trop à sa mère, qu’il haïssait chez elle ce côté qui lui venait d’elle. Malgré une partie de réponse, elle fut néanmoins déçue de ne pas en savoir plus que sa mère. Son prénom. Son nom. Son caractère. Ou quelque chose comme ça. Cependant, elle préféra ne pas insister. Elle savait que son père n’en dirait pas plus et qu’il fallait mieux pour elle de ne plus jamais reparler de ça. C’était devenu, à la seconde où elle avait posé la question, un sujet tabou.

    « Elle était faible. Mais, je suppose que c’est typique du sexe féminin. J’espère néanmoins que toi, tu ne lui ressembleras jamais. Sois forte. »

    Son conseil ressemblait plus un ordre. Et Sixtine se jura d’y obéir toute sa vie. Elle allait être forte. Pour son père. C’était ce qu’il voulait, c’était ce qui lui manquait pour qu’il l’aime. Alors, même si elle ne pouvait rien changer à sa condition de fille, elle pouvait changer ce que la nature de son sexe l’obligeait d’après son père. Sans renoncer à être une fille, elle allait avoir des côtés masculins. Un côté masculin. La force. Il ne lui manquait que ça. Ca ne devait pas être trop dur à obtenir. Néanmoins, avant qu’il ne quitte la pièce, elle ne put s’empêcher d’ajouter :

    « Bellatrix elle est forte ! »

    C’était un exemple. Elle avait souvent remarqué qu’une certaine Mangemort, Bellatrix Lestrange était envoyée pour les missions les plus importantes. Et à chaque fois que Sixtine la voyait, elle avait un peu peur mais, elle admirait aussi cette femme qui certes, était légèrement folle mais qui était forte. Très forte et puissante. Et qui semblait susciter un minimum d’affection chez son père. Sixtine admirait donc cette femme. Et elle décida de lui ressembler, comme le voulait son père. Ce dernier n’ajouta d’ailleurs rien à sa dernière exclamation et la petite choisit de considérer ce silence comme une approbation. Elle allait devenir comme Bellatrix parce que c’était ce que son père voulait. Et Sixtine aurait fait n’importe quoi pour que son père l’aime et soit fière d’elle.

    Alors, elle fit des efforts durant les mois qui suivirent. Mais au fond, Sixtine avait toujours ressentit le besoin de savoir si son père l’aimait ou non et c’était justifié. Bien sûr, son père ne prêtait jamais attention à elle et lui préférait clairement le petit Scorpius mais, elle ne savait toujours pas si il l’appréciait un tant soit peu. Si le fait qu’elle soit sa fille pouvait déclencher un peu d’amour en lui. Ca, personne ne le savait à part le Lord, tout n’était que supposition mais, Sixtine était bien résolu à obtenir une réponse. Alors, dans son père s’installa dans le fauteuil ce soir là, elle se dirigea vers lui, restant debout, fière du haut de sa petite taille. Il était assit, elle était debout et pour la première fois, leurs regards se croisèrent à également hauteur. Comme si ils se retrouvaient d’un coup sur un pied d’égalité. Mais, ce n’était pas le cas. Sixtine valait tellement moins bien que son père.

    « Tu m’aimes ? »

    Anxieuse mais le regard fixé dans celui du Lord, la petite fille attendait une réponse. C’était peut être trop brutal mais, son père n’avait pas besoin qu’on le prenne avec des pincettes, elle le savait. Et il n’en prenait pas avec les autres non plus. Alors elle, elle ne se gênait pas. Et savait que son père ne s’en formaliserait pas. Car même si elle ignorait la réponse à sa question, elle savait qu’être gentille et agréable avec les autres n’était pas une chose qu’il aimait chez elle. Elle s’en était rendu compte avec le temps. Il l’aurait voulut plus à son image. Plus froide. Plus hautaine. Plus cynique. Plus machiavélique. Alors elle faisait ce qu’il lui demandait de faire silencieusement. Parce que la fierté de son père était son seul but dans la vie.

    « L’amour, c’est pour les faibles. Et nous savons tout les deux que nous ne sommes pas faibles n’est ce pas ? »

    La réponse de son père fut reçut comme un coup de massue. Il sous entendait clairement qu’il ne l’aimait pas. Et que ça faisait mal. Sixtine ressentit comme un éclatement dans sa poitrine. Le cœur qui se brise. La déception. La haine. Et pourtant l’admiration. L’amour. Sixtine sut ce jour là que quoi que son père dise ou fasse, elle l’aimerait toujours. Qu’importe si ce n’était pas réciproque maintenant. Ca le saurait bientôt. Ce n’était pas pour rien qu’elle changeait de caractère, qu’elle devait plus l’image de son père chaque jour.





Dernière édition par Sixtine M. Jedusor* le Dim 19 Juil - 0:32, édité 6 fois
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Sixtine Jedusor

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MessageSujet: Re: Sixtine ; « Satan aussi était un ange au commencement. »   Sixtine ; « Satan aussi était un ange au commencement. » EmptyMer 15 Juil - 16:24


Quatrième
Partie



    « SIXTINE ! Bon sang, tu es vraiment une incapable ! Endoloris ! »

    Le Lord dirigea sa baguette vers sa fille qui tomba à terre et se tordit de douleur en poussant des cris. La souffrance dura quelques minutes puis, le mage noir abaissa sa baguette. La douleur d’arrêta mais, Sixtine mit du temps à se relever. L’apprentissage était dur, peut être un peu trop mais, il était utile et indispensable pour l’adolescente et presque femme qu’était Sixtine. Elle allait entamé sa sixième année à l’école de sorcellerie Poudlard et pouvait dire sans hésitation qu’elle était une des meilleures élèves. Pour faire la fierté de son père. Ce côté studieux aurait pu l’envoyer à Serdaigle mais, Sixtine n’était pas sage et les qualités de Serpentard étaient prédominantes dans son caractère. Alors, elle abordait fièrement les couleurs vert et argent.

    Enfin debout, son père la força à reprendre l’entraînement. Elle était fatiguée mais, ne fit rien, se contentant de jeter les sortilèges. Néanmoins, au bout d’une demi heure, son père quitta la pièce, la traitant de moins que rien, visiblement peu convaincu par ses maigres efforts. Sixtine alla alors s’asseoir dans un canapé, soulagée que son père ne lui ait pas jeté un doloris en partant. Elle n’aimait pas cette situation mais, s’en contentait. Son père devenait un peu fier d’elle à force et, il était moins sévère avec elle qu’avec Scorpius. Souvent, Sixtine plaignait le beau blond intérieurement, sans jamais le dire à haute voix. Le Lord était plus dur avec lui, sûrement parce qu’il attendait plus de la part de Malefoy Junior. Sixtine aurait bien aimé parler de la difficulté et de la douleur endurée au cours de ces entraînements. Histoire qu’ils se confient tout les deux puisque Sixtine savait ce qu’il ressentait et inversement. Forcément, ils vivaient la même chose. Mais, aucune confidence ne fut jamais faite par rapport au Lord car Sixtine considérait que ça aurait été de la trahison vis à vis de son père de se plaindre de ça et donc, de remettre en cause. Alors, elle se taisait. Et Scorpius faisait pareil. C’était comme un sujet tabou entre eux. Bien que Sixtine compatissait souvent silencieusement au sort de Scorpius. La rancœur de gamine qu’il lui soit préféré avait disparu. Mais, si elle le plaignait souvent de la dureté du Lord à son égard, elle le jalousait également par l’attention qu’il attirait. Mais, puisqu’elle savait que le Lord ne l’aimait pas non plus, cela passait vite.

    « Ca va ? »

    La voix douce et claire qui venait de poser la question appartenait à Narcissa Malefoy. Cette dernière apparut devant le fauteuil de Sixtine, restant à une distance respectable. La fille du Lord ne leva même pas les yeux vers elle. Narcissa était gentille avec elle pourtant. Aimable. Parfois inquiète. Et bien que cela était pathétique puisqu’elle n’avait pas d’affinités particulière, elle était ce qui se rapprochait le plus d’une mère pour Sixtine. Et au fond, l’adolescente n’aimait pas ça. Elle appréciait Narcissa néanmoins. Mais de loin.

    « Oui. »

    Parce qu’elle était polie et bien élevée, Sixtine répondait toujours aux questions aimables même lorsqu’elle n’en avait pas envie. Alors, cette fois ne fit pas exception. Narcissa sembla alors prendre cela comme une invitation à parler de la part de la demoiselle. Elle s’avança, l’air conspiratrice et tendit une main réconfortante vers celle de Sixtine posée sur l’accoudoir. La main de Mrs Malefoy frôla la peau de Sixtine qui ne bougea pas. Alors, elle posa franchement sa main sur celle de l’adolescente. Parce qu’elle la voyait comme une enfant blessée. Qu’il fallait aider. Et réconforter. Comme son petit fils. Sixtine ne retira pas sa main. Elle n’avait rien contre le fait qu’on la touche même si elle n’appréciait pas particulièrement. Et elle avait besoin de contact physique de temps à autre. Et d’une compassion franchement exprimée. Alors, elle laissa Narcissa serrer sa main. Et la serra en retour. Comme une enfant. Même si elle ne l’était plus. Seulement, cette étreinte ne dura pas plus de quelques secondes puisque le Lord refit son apparition.

    « Narcissa, je te prie de ne pas embêter Sixtine. C’est déjà assez énervant de devoir repousser tes maigres efforts de protéger Scorpius alors ne me mets pas trop en colère car tu connais les conséquences. »

    La main de Narcissa lâcha celle de Scorpius et avec prestance et élégance, la femme quitta la pièce, laissant le père et sa fille en tête à tête. Le Seigneur des Ténèbres fit signe à son enfant de se lever et elle s’exécuta. Elle prit sa baguette qu’elle avait rangé dans sa robe de sorcière mais, s’aperçut que son père n’avait pas l’intention de continuer l’entraînement. Il s’assit sur le canapé mais Sixtine ne fut pas invité à l’imiter.

    « Les entraînements se révèleraient-ils trop durs pour toi Sixtine au point que tu fasses consoler par une autre personne ? »

    Il tenait sa baguette entre ses doigts, jouant habilement avec. Sixtine resta debout, fière. Elle réfléchit un instant à la réponse à donner, se doutant que son père n’accepterait pas n’importe laquelle. Avec une mauvaise réponse de sa part, il aurait pût se fâcher. Alors, elle prit son temps pour trouver quoi dire et finit par trouver.

    « Les entraînements sont durs mais, c’est souhaitables qu’ils le soient je crois. »

    Un sourire étira les lèvres du Lord.

    « Bonne réponse. »

    Et il fit signe à sa fille de sortir.







Dernière édition par Sixtine Jedusor le Lun 20 Juil - 2:40, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: Sixtine ; « Satan aussi était un ange au commencement. »   Sixtine ; « Satan aussi était un ange au commencement. » EmptyVen 17 Juil - 18:34


Cinquième
Partie



    La petite fille inutile et angélique avait disparut, laissant place à une puissante sorcière bien décidé à faire la fierté de son père. Cela avait d’ailleurs un peu commencé car le Lord n’avait pas voulut laisser Sixtine aller à Poudlard en tant que débutante. Alors il l’avait entraîné à la magie. Bien sûr, ses enseignements étaient beaucoup moins fréquents que ceux de Scorpius mais tout aussi durs. Et si elle décevait son père, elle était puni. Finalement, elle avait goûté à cette douleur horrible provoqué par la baguette de son père. Néanmoins, les doses de douleur qu’il envoyait n’étaient jamais aussi fortes que celles des autres. Peut être parce qu’il considérait que Sixtine était plus faible que les autres. Pourtant, ce n’était pas le cas. Et si il avait poussé un peu plus ses sorts, il aurait remarqué combien sa fille était résistante et déterminée.

    Quand le Lord avait découvert que sa fille était bel et bien fourchelang aussi – il s’en doutait sans jamais avoir eut de preuve cependant – il avait été un plus attentif à son égard. Et c’était d’ailleurs à partir de son moment là qu’il lui avait enseigné la magie. Peut être parce qu’il voyait moins l’image de sa mère et plus la sienne chez Sixtine avec le temps. Elle, elle ne s’en plaignait pas. Elle aimait apprendre et puis, elle passait du temps avec son père comme ça.

    « Apollinaire balançait encore des crasses sur toi tout à l’heure. »

    Sixtine releva la tête vers sa camarade de classe. Quand elle avait intégré Poudlard et avait été envoyé à Serpentard, elle avait remarqué bien vite que les gens se retournaient sur son passage, à son grand plaisir pour elle qui détestait être ignoré. Forcément, un tel nom et de telles origines ne laissaient pas de marbre. Alors beaucoup l’avaient détestés sans même la connaître. Mais Sixtine se foutait pas mal des autres. Elle était indifférente à eux. Ou les détestait de part leur sang. Parce qu’évidemment, la fille de Lord Voldemort ne pouvait que mépriser les nés moldus, sang mêlé et traîtres à leur sang. Pour Sixtine, c’était une évidence que ceux qui avaient du sang de moldu dans les veines étaient moins qualifiés pour les actes magiques que les ‘vrais’ sorciers. Et pourtant, elle même a du sang moldu dans les veines bien qu’elle l’ignore et ne le saura probablement jamais.

    « Quelle importance ? Je la méprise aussi. »

    Fière Sixtine. Aussi méprisante que méprisable, elle a apprit à être d’une froideur sans limite. Les émotions, elle essaie tant qu’elle peut de les refouler, qu’elles soient bonnes ou mauvaises. Mais comme pour son père, l’émotion qu’elle ne parvint pas à contrôler, c’est la colère. Elle peut entrer dans des fureurs destructrices, pouvant entraînement l’éclatement de petits objets aux alentours. Le contrôle de la magie devient en effet dur quand les émotions prennent le dessus puisque c’est rare. Et, quand elle est en colère, Sixtine est capable aussi d’être violente. Mais toujours avec classe et avec sa baguette. Et les rumeurs qui relatent que Sixtine se bat parfois à la moldue sont toutes fausses. Elle ne sait pas sa battre. Et s’amuser non plus. Elle travaille dur, elle a énormément d’ambition, elle est prête à tout pour arriver à ses fins alors forcément, les fêtes et autres stupidités, ce n’est pas vraiment pour elle, elle n’a pas le temps. C’est également pour ça qu’elle n’a jamais eut de réels petits amis, bien que son insociabilité y joue un rôle. Plus la timidité en tout cas, elle l’a perdue depuis longtemps. Avec ses origines et son joli minois, elle aurait pu sortir avec l’un des fils de Mangemorts. Mais, elle n’a jamais voulut. Pourtant, elle n’est pas narcissique, ou, pas autant que certains en tout cas. L’arrogance et la prétention ne font pas partit de son caractère. La détermination et le courage, oui. Ces deux éléments l’amène d’ailleurs à une grande ruse. Cynique, elle a tendance à voir le mal dans chaque personne. Sans être pessimiste pour autant. Elle est cependant très déçue de l’espèce humaine. Et que son père tue des gens ne la dérange pas outre mesure. Cependant, elle sait que c’est mal. Et elle même refuserait de le faire pour l’instant. Et des gens ont beau dire que son père est un monstre, elle a beau le penser parfois, il reste son père et elle l’aime et le soutient coûte que coûte. Elle compte d’ailleurs rejoindre les Mangemorts dès qu’elle pourra. Parce qu’elle est quand même assez machiavélique. Faire le mal est parfois un bon divertissement pour elle et elle y ressent même du plaisir. Sûrement qu’elle possède un côté sociopathe.

    « Elle dit que tu ressemble à ton père. »

    Les gens à Poudlard ont pu en effet se rendre compte que Sixtine ressemble à son père. En apparence. Au fond, elle n’est encore qu’une gamine blessée et perdue qui chercher l’amour de son père à tout prix. Elle doute de qui elle est. Même si elle sait qu’elle sera mauvaise toute sa vie. C’est dans ses gènes. Mais, il existe une énormément différence entre elle et son père. Elle, elle est capable d’avoir des sentiments. Amicaux en tout et ne pas considérer les autres comme ses esclaves. C’est sa grande faiblesse dirait son père. Elle est faible parce qu’elle aime. Elle a essayé de résister pourtant mais, ça a été plus fort qu’elle. Alors tant pis, elle aime ses quelques amis. Et même si elle est incapable de leur montrer qu’elle est attaché à eux, ils doivent bien le savoir. Les autres, non. Pour les sang de bourbe et autres déchets, elle est la fille de Voldemort, l’ennemi a abattre. Donc, elle mérité la potence elle aussi. Si elle est plongée totalement dans ses préjugés, eux aussi quelque part. Et à cause de ça, ils oublient une chose. La seule chose qui compte en fait : Elle n’est pas son père.

    « Je ne mérite pas un tel compliment. Mais j’espère être comme lui un jour. »






Dernière édition par Sixtine Jedusor le Lun 20 Juil - 2:23, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Sixtine ; « Satan aussi était un ange au commencement. »   Sixtine ; « Satan aussi était un ange au commencement. » EmptySam 18 Juil - 20:22



    Ta fiche est splendide. Je l'adore. Absolument.

    Mais comme ce personnage est très important, je vais devoir attendre le retour de la fondatrice (lundi) avant de te valider. J'espère que ça ne te dérangera pas trop. Bisous !

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Sixtine Jedusor

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MessageSujet: Re: Sixtine ; « Satan aussi était un ange au commencement. »   Sixtine ; « Satan aussi était un ange au commencement. » EmptyLun 20 Juil - 2:42

    J’ai rajouté un passage, la quatrième partie (:
    Fiche définitivement terminée donc :D
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Jewel Robinson

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MessageSujet: Re: Sixtine ; « Satan aussi était un ange au commencement. »   Sixtine ; « Satan aussi était un ange au commencement. » EmptyLun 20 Juil - 12:45

    Bonjour bonjour =) je suis enfin revenue et je compte bien valider ta fiche au plus vite! En effet j'aime beaucoup ce que tu as fait de Sixtine, une ado blessée qui a trop manqué d'amour, voilà tout. En fait ce que j'aime, c'est que Sixtine n'est pas invincible, elle est capable d'aimer, et là où tu l'as rendu - en quelque sorte - fragile, tant d'autres auraient fait d'elle une pâle copie conforme de son père. Et ça n'aurait pas été très intéressant à jouer, du moins pas autant qu'avec ce que tu en as fait... à mon avis bien entendu !

    Brefouille, puisque nous sommes toutes d'accord, je te valide, et tu vas à Serpentard, évidemment !
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MessageSujet: Re: Sixtine ; « Satan aussi était un ange au commencement. »   Sixtine ; « Satan aussi était un ange au commencement. » Empty

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