Hominum Revelio
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 •• sasha caldwell « I don't care »

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Sasha L. Caldwell

Sasha L. Caldwell


Féminin nombre de messages : 15
age : 31
pseudo : Sasha
humeur : Mélancolique
date d'inscription : 15/07/2009

Pensine
année du personnage: septième année
animal: un chat noir ; Asran
notes: excellentes

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MessageSujet: •• sasha caldwell « I don't care »   •• sasha caldwell « I don't care » EmptyMer 15 Juil - 19:47

sasha liam caldwell
*« I'll Built You An Empire »

•• sasha caldwell « I don't care » 18j601âge et année d'étude ; 17 ans ; 7ème année
date & lieu de naissance ; 20 Août 2000 à Londres ;
origines & pureté ; Anglais ; Sans mêlé ;
orientation sexuelle ; Bisexuel ;

hominum revelio
*Chapitre 1 :: « I just want some more »
    Une étincelle brillait au fond de mon regard. La peur. La crainte. Une lueur de folie étreignant les traits de mon visage. Je ne saurais décrire avec précision ma posture en cet instant précis. A dire vrai, j’ignore même si, avec le recul, j’en serais capable. Parce que la fraîche brise du vent glaçait mes veines, parce que les murmures prononcés me pétrifiaient, une larme roula le long de ma joue. Mes mains tremblantes masquant mon visage, mon souffle se coupant alors que l’ombre s’avançait un peu plus. Le ciel était sombre, l’hiver était rude. Moi, je n’étais plus que poussière et détritus. Un contact. Il suffit que cette femme âgée me touche en posant sa main ridée sur mon épaule pour que je réagisse au quart de tour. M’emportant et me laissant emporter. D’un geste soudain, je me relevais, je la bousculais sans gène, et je courais. Je courais pour fuir une menace. Je courais pour vivre. Sous la pluie glacée de cet hiver, les mains posées sur mes oreilles, j’hurlais mes angoisses en fuyant. M’éloignant. Jusqu’à ce qu’enfin, une épaisse nappe de brouillard vienne couvrir le doux paysage.

    Et ce genre de scène eu lieu plus d’une fois dans mon existence. Une maladie plus qu’une phobie. Mon enfance se déroula ainsi durant de longues années. Même mes parents ne pouvaient m’approcher, tant je les craignais. Selon cet homme au long tablier immaculé et aux lunettes scintillantes, mes idées restaient fixes. Je ne pouvais changer. Condamné à rester ainsi donc… Maudit par cette frayeur de l’Homme. Mais mes géniteurs eux aussi, restaient borner. S’ils parvenaient encore à me parler, à me frôler, ils ne pouvaient pas me toucher. Personne ne le pouvait. Qu’importe ma volonté, mes peurs restaient les plus imposantes. Me dictant de fuir, de reculer, d’attaquer si ces deux premières échappatoires étaient vaines. Un petit être qui n’a jamais réclamé le monde mais que le monde réclame… Cela aura débuté alors que je venais tout juste d’apprendre à marcher. Mes petits pas se dirigeant très vite à l’opposé des moindres silhouettes que je parvenais à percevoir. Quand je pense que mes pauvres parents ont autrefois songé que ce n’était pour moi qu’un jeu… Ils sont désormais conscients que tout cela n’est que cauchemar et terreur pour moi.

    Prenez une journée comme les autres : le soleil frappait Londres. Une rare et agréable température régnait sur le pays anglais. Mon sorcier de père lisait un journal au bord de la piscine, ma moldue de mère, elle, ne faisait que se présenter à moitié nue aux rayons UV… Moi… Et bien je les contemplais de la petite vitre de ma chambre. J’avais 10 ans. Aucun pouvoir magique dévoilé jusqu’à l’heure (en dehors de quelques petits tours appris par mon père), aucune difficulté particulière dans les matières que j’étudiais à l’école, néanmoins, d’après nombre de médecins et psychologue, j’étais mentalement dérangé. Agoraphobe disaient-ils. Parce qu’au contact d’autres personnes, je réagissais toujours de manière excessive et semblable à celle d’un animal sauvage. Si je ne pouvais fuir, j’attaquais. Violent donc… Oui, je le suis. Un petit bonhomme plutôt rusé pour son âge, mais incapable de réagir calmement face à une paire d’yeux qui me fixent, me dévisagent. A l’école, c’est une toute autre histoire. Les professeurs s’étant arrangés entre eux afin de me placer tout au fond de la salle. Que je suive le cours sans sauter sur ma table de travail en pointant ma paire de ciseaux sur les autres élèves… Parce que oui, ce genre de petit accident m’est déjà arrivé. Loin d’en être fier, je cache tout cela du mieux que je peux. Mon âge n’atteignant même pas les 11 ans, je prenais conscience de la stupidité de mes problèmes ‘’mentaux’’. Cette journée de canicule au soleil fût la dernière de mes crises d’angoisse. Décidé à prendre les choses en main.

    sasha :: « Papa… »


    Depuis combien de temps n’avais-je plus adressé la moindre parole à mes géniteurs ? Mon interlocuteur sembla par ailleurs avaler de travers son ultime gorgée de café ce matin là. S’étranglant sous la brûlure du liquide qui tiraillait sa langue, il m’incita à continuer d’un geste de la main. J’hésitais. Du haut des marches de l’escalier, je songeais. Mais mon désir, pour la toute première fois depuis ma naissance, fût vainqueur sur ma phobie. Le cœur battant, les mots incertains et la voix tremblante, je parlais.

    sasha :: « Je… J’aimerai t’accompagner au Chemin de Traverse demain… »

    Parce que j’avais reçu ma lettre ce matin, je voulais savoir à quoi ressemblait ce monde. Après tout, Poudlard se dévoilerait d’ici peu à moi, alors autant profiter immédiatement de l’occasion pour combattre ce qui m’effraie le plus. Parce qu’être faible et vulnérable n’est pas le genre de qualité que l’école réclame. Je désirais être le meilleur. Me fichant éperdument de mon handicape, quoique puisse dire les autres apprentis sorciers. Déjà, là, je me prédestinais à vaincre, ne pas abandonner, et continuer. Tout simplement parce pesait sur moi cette honte d'entrer dans un nouveau monde avec ce poids sur mes épaules. Mon père en tomba presque de son siège. Quant à ma mère... Elle tenta vainement de me convaincre de renoncer. Merci de croire en moi... Merci de croire en ton fils.

    ~~~~


    Les allées étaient grouillantes de monde... Des regards, partout, qui me frôlaient. Ils grouillaient et j'étais leur prisonnier. Soumis à toute attaque. Bouche entrouverte, regard terrifié et une goutte de sueur qui longe ma tempe pour disparaître dans ma nuque. La main avec laquelle je serrai un pan du manteau de mon père tremblait. Moi qui pensais pouvoir surmonter ma phobie... Mais en ce jour confronté à la chose... Je ne pouvais m'empêcher de croiser l'attention de quelques passants. Me retenant à grande peine de fuir, me cacher derrière une porte, ou même sauter sur cette jeune fille qui me dévisageait... N'avaient-ils donc rien d'autre à regarder que ma personne ? L'impression que j'étais observé de tous les côtés m'effraya. Au bout milieu du Chemin de Traverse, je n'effondrais à genoux. Frissonnant comme un enfant que l'on aurait retrouvé congelé en hiver dans une rue. Papa se pencha vers moi en me prenant dans ses bras. Comme s'il pensait qu'en jouant au gardien protecteur il pourrait me rassurer... Mais au final, c'est ce à quoi il parvint suite à quelques paroles qu'il me murmura.

    L'envie de continuer ma route. L'envie de réussir. L'envie de prouver à ces gamins que j'étais supérieur à mes "soucis psychologiques". Mes pieds m'entraînèrent de nouveau à travers les boutiques. Pour la première fois depuis bien longtemps, j'effleurais des personnes. Les yeux rivés au sol, je pouvais sentir des regards se braquer sur moi. Et entendre des voix parler. Tellement de voix ! C'en devenait à la fois stressant, terrifiant, mais tout aussi... Passionnant. A la fin de la journée, j'avais rempli tout ce que je m'étais juré de faire : mes affaires étaient achetés, mon père était fier, moi, j'avais enfin mener bataille à cette fichue phobie.




Dernière édition par Sasha L. Caldwell le Jeu 16 Juil - 19:53, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: •• sasha caldwell « I don't care »   •• sasha caldwell « I don't care » EmptyMer 15 Juil - 19:48


*Chapitre 2 :: « Now, I'm falling deeper and deeper »


    J'étais arrivé. Depuis plusieurs mois maintenant, je me forçais à regarder, à parler, et surtout à endurer. Prendre sur moi pour oublier. L'épreuve du Poudlard Express me prouva une nouvelle fois que j'étais capable de relever le défis (bien qu'à plusieurs reprise je fus sur le point de craquer). Prenez par exemple cette belle jeune fille qui me rencontra dans un couloir. Vide, il n'y avait personne à l'horizon. Juste elle et moi. Mes yeux croisèrent les siens, mon cœur s'emballa, de même que mon souffle. Je continuais ma route en me concentrant sur les quelques friandises qui maculaient par endroit le parterre du train. Et pourtant, elle me remarqua. Me frôlant lors de son passage et me souriant. Sourire que je ne vu qu'en coin, sans lever la tête pour le contempler. Là-dessus, je m'étais emporté. Un soupire sifflant de mes lèvres et mes jambes m'emportant. Adressant un coup d'épaule brusque à ma camarade... Encore une chose que je ne parvenais pas à contrôler entièrement... Ce médecin avait donc cerné correctement mon problème. Ses dires se révélaient aujourd'hui exacts : l'agoraphobie et ma violence contenue auraient raison de moi, quoique je puisse faire. Quelle que soit ma motivation. C'est donc avec un espoir éteint que je me dirigeais vers ma nouvelle école. Sans un "au revoir" à mes parents, blasé et las, je m'installais sur mon siège. Ignorant ces adolescents qui remplissaient ma cabine. Sans un mot, sans aucune attention, sans peur ! J'étais parti ailleurs. Rêvant et frustré.

    Mon arrivée à Poudlard d'ailleurs ne se déroula pas exactement comme prévue... Ce fut bien pire. Je ne saurais dire ce qui me pris, mais je fus contraint à agir. Un vieil homme nous indique la Grande Salle à moi et mes nombreux nouveaux compagnons. Mon Dieu... Cette foule. Tout ce monde... Des sorciers, élèves et professeurs. Tous les regards braqués sur nos frêles silhouettes... Et puis cette jeune fille du train, près de moi. Nous marchions pendant que je ralentissais mes pas. Tremblant de la tête aux pieds. Inconsciemment, je serrais dans ma main celle de ma nouvelle amie. La pauvre ne sembla d'ailleurs pas immédiatement comprendre ce qui m'avait piquer... Et cela se comprend. A croire qu'elle me prit pour un lunatique de première. Et au fond, peut-être n'aurait-elle pas si tord que ça.

    Quoiqu'il en soit, lorsque nous fûmes enfin réparti, l'heure était à présent de ne pas craquer. J'étais proche du but. Sonnerait bientôt ma récompense : ma fierté. Mais sans doute j'eus vendu la peau de l'ours avant de l'avoir tué...

    Un cinquième année me remarqua alors que je quittais la Grande Salle pour me diriger vers ma salle commune. Son visage esquissa un sourire moqueur alors qu'il parvenait à ma hauteur en me barrant le chemin. Le stress repris emprise sur moi. Se déversant sur mes sens sans que je ne puisse en avoir le contrôle. La fin de ma soirée, je la passais caché. Tapi dans l'ombre. Me pinçant si furieusement la lèvre inférieure que quelques gouttes rouges maculèrent mes dents. J'avais cédé. En repoussant d'un brusque geste cet élève qui se riait de mon handicape, j'avais cédé... Plus encore lorsque les événements tournèrent à une véritable scène de film. Du monde qui nous entoure et forme un cercle aux côtés de nos deux silhouettes enragées. Lui, surpris et énervé par mon repoussement, moi... Et bien je n'étais plus moi. Des coups, des insultes, et finalement (quoique plutôt fatalement), ce fut le première année qui termina plaqué au sol. Mon adversaire n'ayant reçu que de simples morsures d'enfant au bras. Pour le reste, disons que ce sont les professeurs qui nous auront séparé. Une retenu à peine arrivé. Coup de chance pour un château dont la réputation se dégrade de même que l'ambiance.

    Ce soir là, le jour de mon arrivée et de ma répartition, j'avais combattu au mieux ma peur. Mais finalement, elle fût vainqueur, et je me résolu à l'écouter. J'étais différent, je le savais. Mais était-ce là une raison suffisante pour que je m'isole du monde ? Oui, sans doute. Mon caractère étant bien trempé pour que je puisse, sans faire de mal et me faire de mal, m'exposer aux autres. Comme un garçon sans souci.

    ~~~~


    Au fond, je ne sais pas trop ce que je suis devenu. J'ai oublié mes parents, je me suis isolé. Désormais, j'arpente les corridors du château comme un fantôme. C'est à peine si je me montre au bout milieu d'une foule. Les soirs, j'attends que la plupart des élèves aient quitté la Grande Salle avant de m'y installer et manger quelques aliments. Mon caractère à bien changé en 6 années. Si mon agoraphobie m'est restée, la façon dont la contrôle n'est plus la même qu'autrefois. Plus calme aujourd'hui, je sais la gérer. J'ignore les gens lorsque l'on me parle. Je ne pose mon attention sur personne. Je peux même à présent marcher au Chemin de Traverse sans éprouver un besoin immense de fuir. Néanmoins, il ne faut pas se borner à croire que je suis entièrement "guéri" de ce mal. Si je parviens à drainer mes peurs, ma violence, quand elle a besoin de s'apaiser, n'hésite pas à frapper au moment propice. De combien de disputes ai-je été victime ? Je ne compte même plus les fois où l'on m'a refiler en présent une heure de colle ou deux. Mes parents justifiant chaque fois mes soucis à l'école grâce à mon handicape. Comme quoi, au fond, c'n'est pas une si "mauvaise chose"... Pour mon parcourt scolaire tout du moins.

    Le reste... Disons que rien n'a vraiment changé. Devenu plus sûr de moi, je reste un grand passionné par la magie. Écoutant avec attention les moindres paroles, les buvant sans crainte (sauf peut-être celle d'être interroger par le professeur...). Néanmoins, certaines choses ont belles et bien changées... Reste seulement à voir comment elles évolueront.


Dernière édition par Sasha L. Caldwell le Jeu 16 Juil - 19:51, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: •• sasha caldwell « I don't care »   •• sasha caldwell « I don't care » EmptyMer 15 Juil - 19:48

sasha
*« Who's Bad »

    âge ; Bientôt 17 ans ;
    temps de connexion ; Tous les jours je dirais... Sauf quand je pars en vacance, mais dans ce cas, je préviendrai I love you ;
    comment as-tu connu le forum et comme le trouves-tu ? Sur les demandes de partenariat de Edge Of Hysteria (je recherchais un forum HP récent :p). Quant à comment je le trouve, et bien pour le moment, je l'aime I love you le design est très beau, le contexte vraiment alléchant, et en plus de ça, il semble avoir ouvert il y a peu de temps et il y a déjà une foule de monde Razz ça promet (L) ;
    votre personnage est-il un personnage vacant ? Nop ;
    personnalité sur l'avatar ; Jared Leto I love you.


Dernière édition par Sasha L. Caldwell le Jeu 16 Juil - 14:21, édité 2 fois
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Invité
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MessageSujet: Re: •• sasha caldwell « I don't care »   •• sasha caldwell « I don't care » EmptyVen 17 Juil - 11:41



    Bienvenue Sasha ^^

    Nous avons un peu hésité sur ta maison, mais finalement nous t'envoyons à Serpentard. Personnellement, j'ai hâte de voir comment tu vas jouer un tel personnage, c'est fort inhabituel *-*

    Tu peux donc aller ouvrir une fiche de lien et aller piocher chez les autres. Pour le reste, tu peux squatter le forum avec nous, RPouiller et évidemment :

    Amuse-toi bien =D

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Sasha L. Caldwell

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MessageSujet: Re: •• sasha caldwell « I don't care »   •• sasha caldwell « I don't care » EmptyVen 17 Juil - 15:09

    Merciii I love you •• sasha caldwell « I don't care » 111178
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MessageSujet: Re: •• sasha caldwell « I don't care »   •• sasha caldwell « I don't care » Empty

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