| | | Aelianë Y. Mephistos • done. |  |
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Aelianë Y. Mephistos
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| | Sujet: Aelianë Y. Mephistos • done. Lun 13 Juil - 19:42 | |
| Aelianë Yshana Mephistos*« Si t’aimer et être aimé de toi signifie me donner entière,
j’accepte le sacrifice de ma vie. »
 | • âge & année d'étude ; 17 ans ; Septième année
• date & lieu de naissance ;14 Février ; Paris
• origines & pureté ;Norvégiennes & Françaises ; sang-pur.
• orientation sexuelle ; Hétérosexuelle.
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••• Confidences couchées. Extrait du journal d'Aelianë Été 2017
« J’ai toujours été une enfant gâtée, trop peut-être, mais on m’a toujours apprit cependant à ne jamais réclamer. Petite princesse que j’étais, j’avais tout ce qu’une petite fille peut désirer : une garde robe digne des poupées de porcelaines ou des princesses, des jouets par centaines et dont le quart ne me servait pas à grand chose… En grandissant, ma garde robe devint celle d’une jeune fille tout à fait convenable, de tissus soyeux et riches aux robes gracieusement coupées, de rubans, de maquillages et autres accessoires qu’une demoiselle de bonne condition se doit d’avoir. Mais ce dont j’étais la plus fière, ce n’était pas de ces parures qui reflétaient ce que je me devais d’être, mais de ce que je suis en réalité. Nul ne pourra jamais trouver un seul équivalent à ce qui coule dans mes veine, se reflète dans mon regard et embrase mon cœur… Et en cela, je me sens unique, et plus encore depuis que l’histoire du monde est écrite à l’encre noire sur la surface de mon dos, mêlée à mon propre conte. Fantaisie de mes parents depuis mes quatre ans, et en ce jour ma marque s’achève, ainsi que ma vie en France. À l’orée du mois de Septembre, mes pieds fouleront pour la première fois l’Angleterre, et cette école qu’est Poudlard, ancien lieu de scolarité de mon paternel. Écrire que j’ai hâte d’y être serait un euphémisme en vérité, car il me tarde déjà d’y être et de découvrir les lieux tout comme je le fis la première fois à Beauxbâtons. On me rapporte que cette école anglaise est très certainement la plus prestigieuse du monde Sorcier… Sans doute pourrai-je le constater demain, au rendez-vous que nous avons prévu avec mon paternel. » Tif l'astérisque *« Pas d'idée de phrase =D » • âge ;
• temps de connexion ; Cela dépendra de bien des choses.
• comment as-tu connu le forum et comme le trouves-tu ? Partenariat sur Cave.
• votre personnage est-il un personnage vacant ? Certainement pas '-'
• personnalité sur l'avatar ; Rosie Tupper { Le premier qui la touche, je lui arrache la tête x) }
Dernière édition par Aelianë Y. Mephistos le Mar 14 Juil - 14:23, édité 2 fois | |
| | | | Aelianë Y. Mephistos
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| | Sujet: Re: Aelianë Y. Mephistos • done. Lun 13 Juil - 21:48 | |
| ••• Chapter One la genèse ; le début du monde, le sien. ེ ༊
Phèdre : « Pourquoi ne crie t’elle pas ? Dites-moi si mon bébé va bien ! Je vous en supplie ! »
Infirmière : « Calmez-vous Madame, nous nous occupons d’elle. »
Infirmière 2 : « Elle respire. Pourquoi ne crie t’elle pas ? »
Medicomage : « Pour la simple et bonne raison que ses cordes vocales sont scellées. » Le jeune médecin marqua une pause avant de prendre le bébé dans ses bras et de l’analyser. « Allez la laver. »
Merrick : « Qu’entendez-vous par ses cordes vocales sont scellées ? Êtes-vous en train de nous dire que notre fille ne pourra jamais parler ? »
Medicomage : « Jamais est un bien grand mot, mais pour l’heure, c’est notre seul diagnostic. Tout ce que je peux vous conseiller, c’est de laisser faire la nature et de nous prévenir si un changement se produisait au cours des années à venir… »
Phèdre née Nò d’Aiglenoir tourna son regard vers son mari, le regard bordé de larmes. Son seul sentiment en l’instant était d’avoir mise au monde une enfant qui présentait un défaut. Une honte sans nom semblait l’habiter, comme si elle avait manqué à son devoir d’épouse et de mère… Mais un baiser posé sur son front vint à balayer toutes ses craintes non-fondées, son mari ne lui en voulait pas, touché lui-même par cette légère tragédie. Et en son for intérieur, après tout, seule la voix manquait, le pire aurait été que son ouïe ait été touchée ou son regard. Mais les années qui allaient suivre les rassurerait sur ces points… Seule la voix de leur première et unique née serait absente, développant pourtant ses autres sens, à les en rendre plus aiguisés… Et lorsque l’enfant fut posée sur le ventre de sa génitrice pour le premier repas, il fut décidé qu’on l’appellerait Aelianë Yshana Mephistos, ni plus ni moins. De nouveau, la jeune mère reporta son regard sur son époux qui caressait sa longue chevelure blonde, tandis qu’elle donnait le sein à leur fille. Jamais elle n’aurait cru un jour mettre au monde un enfant, pas plus qu’elle ne se voyait mariée à un Norvégien. Leur rencontre avait été le fruit du plus pur des hasards, un jour de pluie au détour d’une ruelle d’Angleterre. Jeune étudiante qu’elle était, lui légèrement plus vieux qu’elle. Elle s’était perdue dans une rue qui n’était pas des plus fréquentée, l’allée des embrumes lui semblait-il, alors qu’il semblait y être comme chez lui. Elle ne lui avait jamais demandé ce qu’il faisait ce jour là dans cet endroit sordide, l’ayant deviné bien plus tôt, alors que son regard bleu unique s’était attardé sur cette main ensanglantée… Elle n’avait pas épousé le meilleur des hommes, elle le savait, mais jamais elle n’avait regretté sa décision, mage noir ou pas. Elle avait toujours été attirée par les hommes à l’aura sombre, comme toutes les filles en général, et ne pouvait se résoudre à épouser celui à qui on l’avait fiancée, de vingt ans son aîné, mais bon parti. Une première rencontre qui resterait à jamais gravé dans leur mémoire… Le reste suivrait naturellement, et c’était ce qui s’était passé… D’une cour ardente durant une année, le jeune Merrick obtint la main de celle qui le rendait fou par son regard unique, sa voix enchanteresse et ses colères vertigineuses. Une autre année plus tard, leur fille voyait le jour, avec un mois d’avance, comme cela avait été le cas pour lui.
Cependant, la jeune enfant était née sur le sol français, ce qui n’aurait pas dû être, le jeune couple se trouvant en voyage, vacances improvisées avant l’accouchement… Paris avait vu naitre sa deuxième enchanteresse, et très certainement la dernière espérait-on. De par ce fait, la jeune enfant, comme l’exige la tradition du sol, se rendrait à Beauxbâtons, sa famille maternelle appuyant le fait qu’elle était autant Française que Norvégienne. Ainsi fut-il.
Malgré son handicap et les années passant, jamais la petite Mephistos n’eut à se plaindre de son sort, se montrant enfant vive et joyeuse en toutes circonstances. On dénotait déjà chez elle l’héritage d’un sang au moins aussi vieux que le monde et que Merlin, dans le passé, avait enrichi par ses connaissances dans le but unique de charmer la douce Vivianne… Et l’on voyait dans son regard unique, l’histoire du monde, le sien et celui qu’elle partageait avec les autres. Un œil vert et un œil bleu ; chacun parsemé de milliers d’étoiles brillantes, étincelant différemment selon ses humeurs, brillantes lors de ses joies, violentes et vives dans ses colères pourtant rares. Sa voix, jamais encore ne s’était manifestée, et cela ne semblait guère gêner la jeune enfant qui évoluait dans le monde en toute discrétion, se faisant serpent malicieux et rusé. Ses oreilles trainaient partout, ouïe aiguisée qui lui permettait de noter dans quelques coins de sa mémoire quelques détails plus ou moins importants. Son regard unique se plaisait à tout observer. Enfant curieuse, qui n’en était pas moins réservée et secrète, veillant toujours à rapporter à son paternel ce qu’elle voyait et entendait… Ce dernier lui avait apprit à observer, à écouter et voir, voyant en elle la parfaite petite espionne qu’il n’aurait jamais rêvé d’avoir un jour. Elle ne le quittait que très rarement, tout du moins, lorsqu’elle n’était pas avec sa mère qui lui enseignait l’art du piano et de la harpe. Un précepteur venait chaque jour quand à lui, enseigner les rudiments de la langue française et anglaise, tandis que son paternel, lui, se chargeait de lui parler en islandais. Dotée du don des langues et d’une intelligence vive, Aelianë n’avait aucun mal à suivre ses petites études, veillant à se montrer élève assidue et attentive. On lui conférait une grande attention pour ce qui était de ce type d’activité, comme si elle cherchait encore et toujours à en savoir plus… Et quand enfin elle fut en âge de lire, on se mit à lui offrir quelques livres puis, on en arriva à lui offrir la clé de la grande Bibliothèques où dormaient des écrits rares et cachés des yeux du monde… Et l’on ne douta plus un instant que la jeune fille était faite pour le monde des études…
Dernière édition par Aelianë Y. Mephistos le Mar 14 Juil - 0:06, édité 1 fois | |
| | | | Aelianë Y. Mephistos
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| | Sujet: Re: Aelianë Y. Mephistos • done. Lun 13 Juil - 22:56 | |
| ••• Chapter Two Une once de rêverie pour dix de lucidité… ✩
Merrick : « Une vraie princesse ! Je crois bien que tu vas me faire honneur ce soir ! »
Phèdre : « Doit elle vraiment venir ? Après tout, c’est tout de même un bal… »
Merrick : « S’il est une chose que vous devez savoir ma tendre épouse, c’est que jamais je ne laisserai Aelianë seule… Par ailleurs, cette robe que vous voyez est sa tenue de travail si je puis ainsi dire… »
Phèdre : « De travail ? Qu’entendez-vous par là ? »
Merrick : « C’est elle, et d’autres enfants, qui nous serviront la joie, boisson servie seulement pour le Bal de l’Hiver. Vous devriez vous en montrer fière, on ne prend pas n’importe quel enfant pour servir les plus grands… »
Du haut de ses dix ans, Aelianë comprenait parfaitement le rôle qu’elle aurait à tenir ce soir, tout comme elle savait déjà qu’elle serait aux côtés d’autres enfants de son âge, au moins aussi beaux et riches comme elle. Le Bal de l’Hiver, coutume norvégienne rassemblant les plus Grands issus du milieu nordique, n’était pas seulement qu’un simple bal, on y venait masqué et dans des tenues témoignant d’une immense fortune. Ce soir, le blanc et l’argent étaient à l’honneur, du moins, en ce qui concernait les adultes. Les enfants eux, étaient habillés en esprits follets de l’hiver, dont le costume se constituait de tuniques blanches de gaze diaphane rappelant l’effet de la neige sous le vent aux manches emperlées de verre. A chaque nouveau geste, les petites sphères suspendues faisaient l’effet de glaçons parsemé le long de leurs bras. Des dominos blancs et simples, festonnés d’argent dissimulaient leurs visages d’enfants… Et seule une touche de carmin sur leurs lèvres mettait une note de couleur. Quant à leurs cheveux, on avait parsemé leurs boucles de rubans blanc pareils à des flocons de neige. Ils étaient beaux et parfaits, véritablement semblables aux esprits de l’hiver. C’était un grand honneur que d’être invité à ce bal masqué, bien plus que d’être accueillie devant la Reine d’Angleterre, et pourtant, la jeune héritière semblait d’ores et déjà deviner que son rôle ne s’arrêterait certainement pas à celui de servir cette boisson qui rendait bien joyeux quiconque en buvait… Et comme elle s’en doutait, avant de la laisser aux mains de l’intendant de la soirée, Merrick Mephistos s’agenouilla devant elle, profitant du fait que sa femme saluait une de ses connaissances pour donner ses instructions à sa petite protégée…
Merrick : « N’oublies pas ma chérie… Ecoutes et observes. Ce lieu regorge d’informations subtiles que l’on ne trouve pas ailleurs… Sois prudente cependant… »
Un hochement subtil de la part de la jeune enfant qui ne tarda pas a disparaître de son pas léger, sa robe suivant chaque mouvement qu’elle esquissait… L’heure était désormais à l’apprentissage de cet art consistant à servir les plus grands. Ainsi, durant la soirée, quatre petits esprits follets de l’hiver se glissèrent dans la foule, servant à boire à qui le voulait. Un seul pourtant se plaisait à écouter les paroles des uns et des autres, captant des informations plus ou moins importantes… Rien qui ne semblait vraiment être intéressant en vérité… Jusqu’à ce que finalement… Discrète et attentive, comme son paternel le lui avait apprit, elle se fit oreille curieuse tout en continuant de servir de la joie aux invités… Hélas pour elle, elle ne put en apprendre d’avantage sur ce qui semblait l’intéresser, car un jeune homme arrogant et au regard abyssal qui avait sans doute déjà consommé un peu trop de joie se penchait vers elle, clamant que cet esprit de l’hiver serait son porte bonheur pour la soirée. Les lèvres de la petite enfant qu’elle était s’ouvrirent sous le choc, comme pour protester, mais aucun son ne franchit ses lèvres, comme on pouvait s’y attendre… Un rire jaillit des lèvres de l’arrogant avant qu’il ne se penche vers l’héritière masquée pour lui soutirer un chaste baiser. En plus de chambouler la jeune Mephistos, ce baiser vint à lui arracher une étincelle de colère et de joie dans le regard. Jamais elle ne pourrait oublier ce premier baiser, pas plus qu’elle ne pourrait oublier le visage de ce jeune homme de 17 ans… Son plateau tomba au sol sous l’impulsion de l’instant, alors que ses lèvres rencontraient celles du jeune homme, sous le rire moqueur de ses amis. De brèves secondes avant que ce monde arrogant ne l’abandonne là, légèrement tremblante. Jamais on ne lui ferait un tel affront à venir, jamais. Nul autour d’elle ne fit pourtant attention à la jeune enfant dont le plateau s’était brisé. Loin d’être honteuse pourtant, la jeune fille repartit auprès de l’intendant pour un nouveau plateau… Et quand la soirée fut enfin terminée, la petite enfant indiqua tout ce qu’elle avait put entendre durant la soirée, s’excusant par avance de n’avoir put en savoir plus, passant pourtant sous silence l’épisode qui encore aujourd’hui, lui arrache de violents frissons… Quant aux informations qu'elle avait put entendre, elle comprit dès qu'elle vit la mine soucieuse ce son paternel, que celles-ci n'étaient pas sans conséquences...
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| | | | Aelianë Y. Mephistos
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| | Sujet: Re: Aelianë Y. Mephistos • done. Mar 14 Juil - 13:54 | |
| S’il y avait une chose que la jeune fille aimait par dessus tout, outre jouer de la musique ou dessiner, c’était certainement lire les livres les plus anciens, ceux qu’avec le temps, on finit par oublier. Curieuse de nature, il ne se passait pas une journée sans qu’elle ne se penche sur l’une de ses trouvailles, expliquant la création du monde magique, jusqu’à la vieille magie, celle que l’on a dénigré au cours du temps, la trouvant dangereuse et bien trop puissante… Même les plus grands mages en avaient oublié son existence… Ce n’était pas réellement par hasard que la jeune fille était tombée sur ce sujet épineux, mais plutôt en farfouillant ce qui devenait désormais son domaine : la bibliothèque recelait de trésors inimaginables, et c’était en cherchant un livre intéressant que la jeune fille était tombée sur ce livre poussiéreux, grimoire des temps anciens, recherches d’un vieux mage sur la magie la plus puissante du royaume sorcier. Dès lors qu’elle avait posé les yeux sur l’ouvrage, l’héritière Mephistos savait que jamais elle ne pourrait s’en détacher tant qu’elle ne l’aurait pas lu… Ce qui lui prit une année en totalité. Une année à enrichir son esprit par les recherches d’un homme que l’on avait considéré fou avec le temps, à noter dans les recoins de sa mémoire ce qui lui semblait le plus important… Mais son jeune âge l’empêchait de comprendre totalement ce qu’elle désirait savoir, et ce malgré l’intelligence dont elle faisait preuve à chaque jour que Merlin créait… Ce ne fut que lors de son entrée à Beauxbâtons qu’elle put mettre à sa disposition tout ce qu’elle cherchait à comprendre…
L’école de sorcellerie française était digne des châteaux de contes de fées, majestueux, fier et orgueilleux, au moins autant que les êtres qu’il abritait. Les professeurs juraient être les meilleurs du monde, les garçons étaient de fiers coq, tandis que les jeunes filles se montraient hautaines et bien trop sûres d’elles. A son entrée dans sa nouvelle maison, la jeune fille eut bien du mal à se convaincre qu’ici était sa place, mais le temps et deux protecteurs lui montrèrent qu’elle n’était pas différente des autres… Ce fut dès son entrée dans la grande salle et face au Miroir de l’âme que deux êtres la repérèrent, deux êtres perfides et qui voyaient en cette jeune enfant au regard unique, leur digne héritière… Ysandre et Alexandre, respectivement de Quatrième année tous deux. Ysandre était connue pour être la pire garde l’école quand Alexandre était l’élève le plus perfide et le plus rusé… Un point les rassemblaient tous deux : ils étaient avides d’amour corporels… Aelianë n’était pas dans l’école depuis trois heures que déjà elle s’était retrouvée entourée par les deux compères qui faisaient d’elle leur protégée et leur digne héritière… Ce qui les avait poussé à la choisir elle plutôt qu’un ou une autre ? Son regard. Selon eux, il témoignait déjà d’une grande beauté et d’une grande force de caractère… A leurs côtés, la jeune héritière apprit ce qu’elle n’aurait jamais voulu découvrir seule : l’art de la séduction, de la perfidie et de la ruse. Elle apprit à tirer des informations tout en conservant son intégrité, sans jamais mettre en danger la pureté dont elle s’était entourée… Ysandre fit d’elle la jeune fille la plus courtisée et désirée tandis qu’Alexandre jouait de son habileté. En quelques années, Aelianë devint Princesse de Glace, attisant les regards, les jalousies et l’admiration, tout en demeurant aussi douce et calme que durant son enfance. En parallèle pourtant, la jeune fille continuait ses occupations premières : ses recherches, ses lectures étranges… Jusqu’à ce qu’elle finisse par s’intéresser à un sujet peu commun, cette vieille branche sombre de la magie, que son père lui-même étudiait en parallèle, sans qu’elle ne le sache. Lui était allé jusqu’en Russie pour travailler sur le sujet… A 15 ans, la jeune fille en était arrivée au même point que son paternel, peut-être même un peu plus… Une connaissance qu’il valait mieux ne pas mettre entre les mains d’une jeune demoiselle comme elle.
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| | | | Aelianë Y. Mephistos
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| | Sujet: Re: Aelianë Y. Mephistos • done. Mar 14 Juil - 14:00 | |
| S’il y a une chose à savoir avant qu’il ne soit trop tard, c’est de ne jamais tomber amoureuse d’une enchanteresse, encore moins si elle ne vous aime pas… Aelianë avait ce grand malheur d’être aimé d’un jeune homme d’un an son aîné, et que son regard indescriptible fascinait. Dans son malheur, elle se vit ardemment courtisée, parfois trop violemment… Jusqu’à ce qu’un jour, la folie ne vienne entacher l’esprit pourtant sain du soupirant. Une folie sans nom, qu’un simple baiser avait attisé. D’une tour afin de prouver son amour il se jeta, non sans avoir cousu à son propre cœur un ruban qui appartenait à la jeune fille. On ne le retrouva qu’au petit matin, le crâne brisé mais le sourire aux lèvres et dont le dernier mot avait sans nul doute été le prénom de celle qu’il chérissait… Contre toute attente, la jeune fille n’éprouva aucune tristesse, aucun remords quant au décès prématuré de son camarade, ne venant qu’à feindre une profonde désolation qu’une étincelle dans son œil vert vint à démentir… Afin que la chose ne se reproduise pas dans l’école, afin de ne pas entacher sa réputation, il fut décidé, et pour une autre raison, que la jeune muette se rendrait à Poudlard, ancienne école du paternel de la jeune fille. Aelianë avait cette heureuse chance de connaître l’anglais, aussi n’éprouverait elle aucune difficulté à s’intégrer dans l’école… Ainsi débuta sa première et dernière année dans l’école de Sorcellerie anglaise, accueillie plus que bien dans ce nouvel endroit. | |
| | | | Aelianë Y. Mephistos
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| | Sujet: Re: Aelianë Y. Mephistos • done. Mar 14 Juil - 14:22 | |
| Fiche terminée & plus que baclée.
J'en suis désolée, mais les fiches, c'est vraiment pas ma tasse de thé, qui plus est, j'ai encore du mal à cerner Aelianë. | |
| | | | Jewel Robinson
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humeur : dégoutée, et encore, c'est un euphémisme.
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Pensine
année du personnage: sixième année.
animal: Pégaze, un chartreux.
notes:
| | | | | Aelianë Y. Mephistos
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| | Sujet: Re: Aelianë Y. Mephistos • done. Mar 14 Juil - 17:12 | |
| Merci <3 <3
Au plaisir de rp avec toi hein *o* | |
| | | | Jewel Robinson
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| | | | | | Aelianë Y. Mephistos • done. | |
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Bâclée ou pas, ta fiche est très bien écrite et agréable à lire, Aelianë est à la fois douce et cruelle, gracieuse et insensible, elle pourrait aisément avoir sa place chez les verts et argents, mais c'est à Serdaigle que je préfère t'envoyer, pour honorer sa passion pour la lecture, sa curiosité intellectuelle et évidemment pour sa déjà grande culture et sa facilité à apprendre et comprendre tout ce qui l'entoure.